Aujourd’hui, les entreprises françaises sont face à un choix :
Soit elles travaillent sur elles-mêmes, se forment et s’efforcent de devenir meilleures importateurs, soit elles laissent les exportateurs chinois les supplanter.
Ces derniers sont déjà présents sur Amazon, Backmarket et autres Ebay. Il ne manque pas grand chose avant qu’ils ne passent au niveau supérieur.
Plus le web se développe, plus le ecommerce se développe, moins nos importateurs traditionnels arrivent à tirer leur épingle du jeu.
Parce que la majorité ne veut pas apprendre.
L’informatique, l’anglais, l’interculturalité, les lives, les places de marché… Notre capacité à (et volonté de) progresser, certes présente chez certains, ne fait pas le poids face à la culture chinoise. Même moi, je suis de plus en plus tenté de collaborer avec « l’ennemi » car il est prêt à investir sur lui-même, à se remettre en question et à évoluer. C’est pourquoi je me pose la question :
Où sont les acheteurs français, patrons de PME et autres qui veulent vraiment changer les choses et devenir les leaders de demain ? La pression est forte pour les entreprises françaises.
Dites moi que je me trompe.
Prouvez moi le contraire.